Tout en réglant leurs comptes à coups de répliques écrites au burin, le prof et le balèze, accessoirement héros de guerre, parviennent l’un et l’autre à s’inscrire dans le plus grand tournoi mondial de MMA, qui n’est pas une compagnie d’assurance ayant fait sienne une vieille chanson de Princess Erika, mais une sorte de sport de combat d’une rare sauvagerie.
Pas d’inquiétude, c’est l’une de ces deux hypothèses qui est servie au bout de plus deux heures où les mandales volent bas et dans lesquelles pleuvent des camions citernes de larmes.
Il se donne de surcroît des airs de drame social, au lieu d’en rester plus modestement à la catégorie «festival de bourre-pifs» qu’il revendiquait à juste titre.
Cet été pour échapper aux blockbusters et à la plage, rien de tel que de mater quelques classiques ou des ovnis à la maison : sélection.
Source:
http://next.liberation.fr/cinema/01012359702-bourre-pif-gadget
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